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jeudi, novembre 29, 2007

Nexity remporte la gestion de 77 sites Citigroup en France

encore une info sur Citi en France

immobilier
Nexity remporte la gestion de 77 sites Citigroup en France
Nexity-Saggel, fililale de Nexity, confirme avec ce contrat le statut de leader de sa division "property management" auprès des entreprises et des institutionnels (5,3 millions de m2 gérés). Il s'agit de sites implantés en région parisienne, en région Rhône-Alpes et dans l'Est de la France.


Nexity-Saggel, filiale de services immobilier de Nexity, numéro un de la promotion immobilière en France (Century 21 France, Guy Hoquet L'Immobilier), a annoncé ce jeudi avoir remporté le contrat de "property management" (gestion juridique et administrative de biens immobiliers pour le compte d'un propriétaire ) pour 77 sites Citigroup en France.
"Avec ce nouveau contrat,
Nexity-Saggel confirme le leadership de sa division "property management" auprès des entreprises et des institutionnels (5,3 millions de m2 gérés)", explique Nexity dans un communiqué. Il s'agit de sites tertiaires implantés en région parisienne, en région Rhône-Alpes et dans l'Est de la France.

"Dans le cadre de la nouvelle organisation du property management de Nexity-Saggel, structuré selon la typologie des clients et la nature des actifs, ce contrat sera géré par la direction "clients internationaux", composée d'équipes bilingues dédiées spécifiquement aux clients de dimension internationale", souligne Nexity. Ces nouveaux contrats s'ajoutent au portefeuille de contrats de property management remportés en 2007 par Nexity-Saggel, tels que pour Société Foncière Paris Ile-de-France (SFPIF), qui comprend la gestion complète de 19 actifs de bureaux et activités situés en Ile-de-France, représentant 112 000 m2.
Nexity-Saggel avait également rempoté la gestion, pour RFF, Réseau Ferré de France, de 2 391 sites ferroviaires à caractère semi industriel (hors infrastructure), et pour Gaz de France, de 350 sites tertiaires d'exploitation de Gaz (plus de 500 000 m² dans les régions Manche-Mer du Nord, Est, Centre et Sud-Ouest).

Ces annonces interviennent tandis que le 6 novembre dernier, Nexity avait confirmé ses objectifs de résultat net supérieur ou égal à 220 millions d'euros pour 2007. Le groupe, qui a signé le 24 juillet 2007 un accord avec Groupe Caisse d'Epargne pour donner naissance du premier acteur intégré des métiers de l'immobilier, vise, à l'horizon 2010, une croissance de résultat de 8 à 10% en moyenne, et de 11% pour le chiffre d'affaires.

Malgré ces bonnes perspectives, le groupe peine toutefois en Bourse, en raison d'un marché immobilier peu porteur. " Les résultats sont bons, mais le marché de l'immobilier neuf restera étale en volume l'an prochain. Les marges risquent de s'éroder plus rapidement qu'anticipé du fait du renchérissement continu des coûts de construction et de l'entrée en vigueur des nouvelles normes environnementales qui vont progressivement s'imposer à l'immobilier neuf ", avait déclaré début novembre Samuel Henry-Diesbach, analyste financier chez Landsbanki Kepler.

Pour mémoire, Nexity a réalisé en 2006 un chiffre d'affaires de 1,85 milliard d'euros en hausse de 20,1% sur un an. Le Résultat net courant part du groupe avait pour sa part progressé de 32,6% à 170,2 millions d'euros en 2006.

latribune.fr

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mardi, novembre 27, 2007

Abou Dhabi injecte 7,5 milliards de dollars chez Citigroup

Entreprises & secteurs / Banque
La Tribune.fr - 27/11/07 à 8:45 - 667 mots

Banque

Abou Dhabi
injecte 7,5 milliards de dollars
chez Citigroup
et prend 4,9% de son capital


L'émirat d'Abou Dhabi va investir 7,5 milliards de dollars dans Citigroup, la première banque américaine et mondiale, fragilisée par la crise des crédits "subprime", en rachetant à terme jusqu'à 4,9% de son capital. Les fonds d'investissement souverains multiplient les investissements dans les grandes sociétés et places boursières internationales depuis quelques mois.

Alors que le cours de l'action Citi a chuté de plus de 30% en un mois et se négocie tout juste vers les 30 dollars, l'émirat d'Abou Dhabi décide de venir à la rescousse de Citigroup. Abou Dhabi a en effet choisi d'investir 7,5 milliards de dollars dans Citigroup, la première banque américaine et mondiale, fragilisée par la crise des crédits "subprime", en rachetant à terme jusqu'à 4,9% de son capital, a annoncé Citigroup lundi soir après la clôture de Wall Street.

L'investissement sera effectué par l'Abu Dhabi Investment Authority (ADIA), le fonds d'investissement souverain d'Abou Dhabi, l'un des sept Etats membres des Emirats arabes unis. Citigroup explique être parvenue à un accord avec le fonds d'Abou Dhabi pour lui vendre des titres convertibles en actions pour 7,5 milliards de dollars, mais souligne que le fonds n'aura qu'un rôle limité. Selon Citigroup, le fonds ADIA "a accepté de ne pas détenir plus de 4,9% des actions, et n'aura pas de droits spéciaux, ni de rôle dans la direction stratégique de Citi, ni le droit de désigner un membre du conseil d'administration".

Cette injection massive d'argent frais est la bienvenue pour Citigroup, qui a été sérieusement ébranlée par la crise des crédits hypothécaires à risque ("subprime") et au passage limogé son président, Charles Prince.

Cet appel à la rescousse de l'émirat est une nouvelle preuve du poids financier croissant des Emirats arabes unis, qui multiplient les investissements dans les grandes sociétés et places boursières internationales depuis quelques mois."Cet investissement de l'un des premiers et plus sophistiqués investisseurs mondiaux apporte des capitaux complémentaires pour permettre à Citi de poursuivre ses opportunités d'affaires afin d'étendre son activité", déclare Win Bischoff, PDG de la banque par intérim, qui occupe cette fonction en attendant que soit trouvé un successeur à Charles Prince.

Cette décision "poursuit une série d'actions décidées ces derniers mois pour renforcer notre capital, dont la vente de certains actifs non stratégiques, l'émission de titres préférentiels et la décision annoncée précédemment d'acheter 32% du groupe japonais Nikko Cordial, payable en action", poursuit encore le président par intérim de la première banque mondiale.

De son côté le président du fonds d'Abou Dhabi, Sheikh Ahmed Bein Zayed Al Nahayan, a déclaré qu'il "considère Citi comme une entreprise de haute réputation dans la finance, avec une marque de premier rang et d'énormes opportunités de croissance". Cet investissement devrait être bouclé dans les prochains jours, précise la banque.

Chaque titre acheté par le fonds émirati pourra être converti en actions ordinaires à un prix compris entre 31,83 et 37,24 dollars par titre, à une date comprise entre le 15 mars 2010 et le 15 septembre 2011. L'apport d'argent sera coûteux pour la banque: les titres vendus à l'émirat lui rapporteront d'ici là un rendement annuel fixe de 11%, payable chaque trimestre.
Citigroup, particulièrement fragilisée par l'absence de nouveau patron, a reconnu lundi qu'elle prévoyait une nouvelle vague de suppressions d'emplois, après avoir déjà réduit depuis avril ses effectifs de 5%, soit 17.000 personnes.


Selon certaines sources, les réductions d'effectifs pourraient concerner de 17.000 à 45.000 salariés sur un effectif global dans le monde de 320.000 personnes. Son action a chuté de 30% depuis mi-octobre et a perdu encore plus de 3% lundi, revenant autour de 30 dollars, un prix bas qui attire les prédateurs.

latribune.fr

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mercredi, novembre 21, 2007

Welcome to the new X-Citi NYC web site

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mardi, novembre 20, 2007

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Le CAC 40 fête ses 20 ans !

comme nous
l'avons fêté en février 2007 ...

CAC 60-19 !!

* * *

le CAC 40 fête aussi ses 20 ans !

Pour célébrer l’événement,
La Tribune a publié lundi 19 novembre un numéro exceptionnel
entièrement rédigé par des patrons du CAC 40.

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dimanche, novembre 04, 2007

rèunion annuelle le 21 février 2008

notez dès maintenant
la date du
jeudi 21 février
pour notre réunion annuelle
probablement dans le quartier Montparnasse.

Vous recevrez votre invitation par email fin décembre.

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le patron de Citigroup contraint de démissionner

confirmation de ce matin....
dans www.lefigaro.fr

le patron de Citigroup contraint de démissionner
Le Pdg de la première banque mondiale sera remplacé par Robert Rubin au poste de président du conseil d'administration et par Sir Win Bischoff comme dirigeant exécutif par intérim.

La crise des crédits hypothécaires à risque (subprime) vient de faire une nouvelle victime.
Après le patron de la banque Merrill Linch, c'est au tour de Charles Prince, l'ex Pdg de Citigroup, d'être remplacé à son poste après l'annonce de pertes colossales liées à la crise du secteur "subprime".

Charles Prince a démissionné brutalement dimanche alors que la banque a annoncé simultanément des dépréciations supplémentaires de 8 à 11 milliards de dollars dans son portefeuille de crédits hypothécaires à risques, qui ne valent presque plus rien, précisant que cela réduira son bénéfice net de 5 à 7 milliards de dollars.

Cette démission était toutefois attendue après l'annonce de ces mauvais résultats selon les analystes. Etant donné l'ampleur de ces pertes "la seule voie honorable pour moi en tant que PDG était de démissionner", a déclaré M. Prince, cité dans un communiqué.

Afin de rassurer les marchés, la présidence du conseil d'administration a été confiée à Robert Rubin, l'ancien secrétaire au Trésor de Bill Clinton. L'homme s'est forgé une réputation de savoir résoudre les situations les plus difficiles et Wall Street l'apprécie pour avoir piloté l'une des périodes de croissance les plus fastes et les plus longues des Etats-Unis.

L'action Citigroup a perdu près de 32% depuis le début de l'année dont près de 9% la semaine dernière.

D'après des sources du Wall Street Journal, Citigroup ferait en outre l'objet d'une enquête préliminaire de l'autorité de contrôle des bourses américaines (SEC) sur la façon dont elle a comptabilisé certaines transactions hors bilan.
Charles Prince, 57 ans, ne devrait cependant pas partir les mains vides, puisqu'il pourrait hériter d'une indemnité de départ comprise entre 31 et 94 millions de dollars, selon des informations du "Wall Street Journal" et du "New York Times." !!

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samedi, novembre 03, 2007

Le patron de Citigroup sous pression

FYI

Entreprises & secteurs / Banque
La Tribune.fr -
document.write(TRBshowDate('02/11/2007'))
02/11/07 à 8:54 - 407 mots
Banque

Le patron de Citigroup sous pression
L'action Citigroup a fondu de 6,89% jeudi à Wall Street, à 38,51 dollars, après la publication d' une note de CIBC World Market qui suggère que la banque pourrait baisser son dividende, vendre des actifs ou augmenter son capital. De quoi relancer sur le marché les spéculations sur un éventuel départ du PDG de la banque, Charles Prince.
Après Stanley O'Neal, ex-pdg de Merrill Lynch, Chuck Prince va-t-il devoir quitter ses fonctions à le tête de
Citigroup? La question est à nouveau posée dans les milieux financiers. L'action Citigroup a fondu de 6,89% jeudi à Wall Street, à 38,51 dollars, après la publication d'une note de CIBC World Market qui suggère que la banque américaine pourrait baisser son dividende, vendre des actifs ou augmenter son capital, afin de récupérer 30 milliards de dollars.
Dans son sillage, les valeurs bancaires ont été très malmenées à la Bourse de New York: JPMorgan a perdu 5,70%, Lehman Brothers 4,48%, Goldman Sachs 3,11% et Merrill Lych 5,80%. En Europe aussi les valeurs bancaires ont chuté:
Société Générale a reculé de 2,72%, BNP Paribas de 4,06%, Dexia de 7,37%, HSBC 2,73%, Barclays de 5,38%, Deutsche Bank de 3,45% et Commerzbank 4,62% à 27,93 euros.
Citigroup, qui avait déjà chuté mi-octobre après des résultats trimestriels laminés par la crise des subprime (baisse de 57% des profits trimestriels à 2,38 milliards de dollars), a été de nouveau affaibli vendredi par la note de CIBC World Market. Son action a perdu 31% depuis le début de l'année. Credit Suisse a aussi abaissé sa recommandation sur Citigroup à "neutre" contre "sur-performer" auparavant, et revu en baisse de 18% son objectif de cours, à 45 dollars, mettant en cause la qualité de la croissance de Citigroup.
De quoi relancer sur le marché les spéculations sur un éventuel départ du PDG de la banque Charles Price, qui avait été endormies ces derniers jours par le tumulte de la démission de Stanley O'Neal, PDG de Merrill Lynch, la banque qui a accusé les plus lourdes pertes à cause de la crise des subprime. Une crise qui n'est pas encore terminée: selon le cabinet RealtyTrac, les saisies immobilières aux Etats-Unis ont doublé au troisième trimestre 2007 par rapport à la même période de 2006.
latribune.fr

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